Festival Campervan, spot « sauvage », chèvres, cathédrales, panne et le reste.
Je vous avais prévenu que ce ne serait probablement pas hebdomadaire. Me revoilà donc deux semaines après vous avoir laissés à Angers, là où le festival Campervan s’apprêtait à commencer.
Cette newsletter me sert aussi de carnet de bord et je ne m’y suis pas super bien pris jusqu’à présent. Je prends quelques notes tous les jours puis je m’y mets quand je peux pour la rédaction et tout le reste. Problème : ça prend du temps ! Donc bonne résolution à venir : écrire chaque jour/événement le soir même. Je croise les doigts pour y arriver 🤞
Ci-dessous, deux semaines de news !
C’est Hélène, la sœur de Clélia, qui nous avait parlé du festival Campervan à Brissac près d’Angers. Ça nous avait bien saucés. Alors nous y sommes allés et elle nous a rejoint en train. Forcément, pas de place dans Chocobo pour qu’elle y dorme donc elle a planté sa tente juste à côté 🏕️
Pour faire court, c’est une sorte de salon en plein air qui rassemble des professionnels de la « vanlife » et des particuliers (les « vanlifeurs »). On a vu plein de stands : aménageurs (dont Oley Workshop qui s’est occupé de l’aménagement de Chocobo), concessionnaires, revendeurs de matériel, spécialistes de tout (porte-vélos, batteries, sommiers, tentes de toit…) ; mais aussi des vans aménagés bien stylés et des voyageurs avec de belles histoires à raconter. Ça nous a permis de faire quelques repérages pour des petites choses pratiques ou encore des projets un peu plus costauds pour plus tard.
Autrement, on a surtout chillé et ça nous a fait du bien. En vrai, notre rythme des premières semaines a été un peu trop intense 🥱 La vie en van, ce n’est pas de tout repos ! Il y a mille choses à faire et auxquelles penser tout le temps. Donc là, c’était un week-end à base de bouffe, jeux de société, bière et blabla.
Une tireuse à bière mobile, la classe à Dallas.
On n’est pas bien là dans la tente de toit ?
La « vanlife » en 2D.
Sister, sister.
Un cadre assez sympa pour ce festival.
Ma tête quand je sais que je vais me faire Kingdominer.
Vue du soir depuis le sommet de Chocobo.
Après un dernier tour des stands du festival, nous avons pris le large en direction de la Bourgogne. Nous allons lentement mais sûrement retourner à notre camp de base pour récupérer un peu de matériel pour Chocobo (le bouchon du bidon de jaune, un paillasson fait sur-mesure, le marchepied pour remplacer celui qui nous a déjà lâché, un tabouret télescopique…), faire un nettoyage (panneaux solaires, cuve d’eau…) et y laisser ce qui ne nous est finalement pas ou peu utile (quelques jeux de société, des vêtements…).
Nous passons par les bords de Loire que Clélia trouve (à raison) sublimes 🤩 Elle s’amuse à pointer du doigt toutes les maisons qu’elle veut acheter. Gros crédit en vue. On cherche un « spot sauvage » (= un endroit sympa, dans la nature, pour passer la nuit et être au calme) dans le coin mais ils sont pris d’assaut. Sinon, parfois, sur la route, je mets en marche la vidéo de mon téléphone 🎬 Cela nous a offert un moment assez cocasse que je vous partage… Alors que Clélia avait baissé sa fenêtre de moitié pour prendre des photos, j’ai appuyé sur la commande pour la baisser davantage pour lui rendre service. Problème : elle s’était appuyée dessus. Le reste appartient à l’Histoire (vous pouvez activer les sous-titres).
Pour le contexte : Clélia m’a récemment appris la notion de « people pleaser ». Il se trouve que j’ai tendance à vouloir aider pour des micro trucs un peu tout le temps au point que ça peut parfois être dérangeant. Je n’en avais jamais pris conscience, mais c’est plutôt juste et je comprends pourquoi ça peut vite être relou.
Un peu plus tard, je regarde sur ma super carte 🗺️ ce qu’il y a dans le coin, je vois un village pas trop loin qui semble mériter le détour. Hop, le GPS est en marche. Un dédale de départementales, routes puis chemins caillouteux plus tard, le verdict tombe : « vous ne passerez pas ! » 🧙♂️
Tant pis, on passe à autre chose et nous mettons en route pour chercher un endroit où faire notre Chocododo. Sur le trajet, je sens à un moment l’odeur des croque-monsieur de mes parents. Mmmh, j’ai faim. Nous traversons Saumur où le château 🏰 semble magnifique, nous reviendrons ! Puis, nous arrivons dans un vignoble très joli où nous nous garons, entre les vignes et les glycines en fleur. S’en suit une petite balade en forêt. Une fois terminée et après manger, j’en profite pour faire les comptes du mois d’avril pendant que Clélia fait la vaisselle jusqu’à ce que… plus d’eau. En fait si. On en a encore mais la pompe à eau ne fonctionne pas. Nos aménageurs n’étant pas si loin, on décide ensemble de retourner au Campervan le lendemain matin pour qu’ils jettent un œil 🧐
Bonjour giga van aménagé trop stylé. 120.000€. Au revoir.
Merci et effectivement, à (très) bientôt !
Assurément le village de Gandalf.
Clélia est prise à son tour d’une passion pour les nuages.
La photo du « taré ».
La Loire vu du bord.
Camouflage forestier.
Entre les vignes et les glycines.
On a mis le réveil pour retourner au Campervan voir Edouard et Romain. Avant de partir, un petit café s’impose. Clélia met en route le gaz et… comme par magie, la pompe à eau se remet en marche 💧 Ça n’a absolument aucun sens car ce n’est pas lié mais la coïncidence est troublante. Une fois le café englouti, nous partons tout de même pour Brissac. Petite inspection du véhicule, rien de particulier, pas d’explication. Mystère et boule de gomme (j’adore cette expression). Ils en profitent pour faire une petite visite avant de repartir pour leur atelier à Roncq (à 7h de route). Après leur crevaison de pneu à l’aller, j’espère que ça a été pour eux !
On repart enfin pour de bon. On s’arrête à une petite aire de camping-cars repérée lors de notre premier départ pour faire une sieste, une visio avec ma famille et aller aux toilettes publiques 🚻 mais en fait non parce que c’était dé-gueu-lasse. Je ne comprends pas qu’on puisse faire ça. Ça m’énerve, ça me dégoûte. Rien que d’y repenser, là, je suis tendu. Et c’est reparti !
Vamos vers un spot France Passion. Sur la route, on croise un mec en trottinette électrique 🛴 sur une départementale. Normal. Il avait ses écouteurs. Normal sup. On écoute Starmania (quel banger) et je me demande pourquoi les dos d’âne s’appellent comme ça. Et puis, et puis, enfin un France Passion qui a plein de choses à nous vendre. La dame est super gentille et nous ouvre le petit camion qu’elle utilise pour les marchés rien que pour nous. On fait le plein et débouche la Sangria du Prieuré 🍷 Coup de cœur. Nous nous posons sur son terrain à côté, seuls, on est super bien.
On teste notre super tuyau d’arrosage hyper flexible acheté au Campervan. Validé.
Je salive rien que de revoir la bouteille de Sangria.
Au milieu de presque rien.
Diner en terrasse.
Flou artistique.
Clélia a l’idée que je la prenne en photo avec le soleil dans sa main…
Et voilà mon idée…
Chocododo.
Je me suis couché trop tard et je dois bosser aujourd’hui. Alors on file pour trouver un endroit propice où on pourrait aussi passer la nuit. Je nous trouve un spot sauvage sur une appli 📱 au milieu de la forêt de la Brenne, près d’un étang. On y est bien mais ça reste un spot sauvage, qui va avec son lot d’angoisses.
Pour nous y rendre, nous avons fait un peu de route… Et la route, c’est propice aux jeux de rôles ou aux délires farfelus. L’un des nôtres est d’échanger les noms de certains animaux entre eux mais aussi de certains bâtiments. C’est venu du fait que Clélia ait à un moment confondu des vaches qui couraient avec des chiens et que de mon côté j’ai cru voir de loin (et de nuit) une cathédrale car il y avait de jolies lumières et ce n’était finalement qu’une usine toute moche… Résultat, pour nous, les bâtiments industriels sont des églises, basiliques ou cathédrales, et inversement (🏭=⛪) et les vaches sont des chiens (🐕=🐄), les chèvres des perroquets (🐐=🦜), etc. Ne nous jugez pas. Tout ça pour vous dire qu’il y a quand même certains entrepôts, usines et autres qui sont assez impressionnants et qui mériteraient d’être pimpés pour égayer le paysage. Parce que sinon c’est quand même dégueulasse ces gros machins posés en pleine nature.
Bon, et sinon sur ce spot sauvage, il y avait des guêpes. L’une d’elle est rentrée dans Chocobo et s’est glissée dans l’espace sous les plaques de cuisson. Je crois qu’elle est morte. On s’est calfeutrés pour éviter d’autres intrusions. J’en ai profité pour prendre ma première douche 🚿 dans le van et franchement ça le fait ! C’est cool. La nuit qui a suivi a été compliquée. Le stress pour Clélia, les piqûres de moustiques pour moi.
La célèbre cathédrale de Soufflet Agriculture.
Mon bureau pour la journée.
Hubrecht (le playmobil qui veille sur ma conduite) regarde le paysage.
Pour couper le trajet en deux, nous décidons d’une longue pause vers Chavignol pour aller visiter une ferme. L’une d’entre elles semble très appréciée dans le coin : la bête noire Sancerroise. C’est mérité ! Nous avons le droit à une visite en autonomie assez bien fichue avec quelques vidéos (avec des mises en scène à couper le souffle) et des panneaux d’informations complets.
Exercice : une chèvre (🦜) produit 2L par traite. Elle est traite deux fois par jour. Il faut environ 70cl de lait pour fabriquer un crottin. Combien de crottins sont fabriqués chaque jour dans cette ferme, sachant qu’il y a un cheptel 200 chèvres ? Envoie ta réponse ici avec ton nom et adresse postale, tu gagneras peut-être le gros lot mis en jeu (à déterminer).
Forcément, après la visite, on a fait une razzia à la boutique 🤤 Un crottin de chavignol par étape d’affinage, soit une bonne dizaine. Et un peu de rabe sur les bien secs comme on aime. Oh tiens, une liqueur à base de lait de chèvre, c’est curieux. On la prend ! Pas déçu, c’est franchement stylé avec un gros glaçon. Ça vous intéresse ? Ça s’appelle « La capricieuse ».
Et sinon, sur le chemin on est passés par le village de Bretagne dans l’Indre. Les bretons sont partout. Mais cette fois, sans drapeau.
Une partie de la visite, avec des grandes baies vitrées pour voir les chèvres.
Je m’en irai dormir dans ce paradis blanc.
Du frais au repassé, ils sont tous délicieux.
Soit.
On n’a pas pu résister et attendre le diner…
Pas grand-chose à partager ici. On avance sur la série Ally McBeal qu’on a en DVD et qu’on voulait terminer avant de partir. Plus que 3 épisodes. On a rangé et nettoyé 🧽 Chocobo, mis de côté les PDF des notices de tout le matériel du van et fait une petite liste d’envies/besoins : talkies walkies, ventilateur usb, moustiquaire… Ah ! Et un des lanterneaux est capricieux, il faudra s’en occuper à l’occasion...
Un nouveau visiteur de Chocobo.
Nettoyer les panneaux solaires, un bon remède pour mon vertige.
Notre nouveau marchepied. Sûrement ma plus belle photo de l’année.
Parce que jusqu’à fin juin nous avons pas mal d’allers/retours à faire entre la Bourgogne et Paris (concerts, tatouages…), nous décidons de continuer à explorer les environs bourguignons. Cette fois, nous allons vers le Parc national de forêts 🌲 Petite escale à Montigny-sur-Aube pour une balade près du château (fermé). Nous ne nous attardons pas quand trois hommes – à mon avis alcoolisés 🥴 - nous apostrophent de loin pendant qu’ils urinent sur la façade de la salle des fêtes. On presse le pas jusqu’au premier inconnu qui, avec son béret et sa canne, nous rassure malgré lui. Un bonjour échangé avec une habitante et un salut à un chien curieux plus tard, on grimpe dans Chocobo et dit adieu à ce patelin avant de reprendre notre route.
Nous nous arrêtons finalement dans un mignon petit village où un pisciculteur 🐟 (de France Passion, toujours) nous accueille. Nous sommes toujours en Bourgogne. Pourtant je n’ai pas compris qu’il me regarde étrangement lorsque j’ai répondu « de Bourgogne » à sa question « d’où venez-vous ? ». Il a cependant fait preuve de compassion en me demandant de quel département plus exactement. La honte. Pour me rattraper (ou simplement par gourmandise), je lui ai acheté un petit pot de rillettes de truite pour l’apéro. Délicieux.
Aux abords du Château de Montigny, ambiance sonore apocalyptique entre croassements de corbeaux et de grenouilles (et oui, c’est le même « cri »).
Monsieur Chien, oklm sur son balcon.
C’est mignon à Veuxhaulles-sur-Aube mais, comme beaucoup de villages, c’est émaillé de bâtisses abandonnées et délabrées…
Encore et toujours pris au nez par les champs de colza en fleurs. Ça hume fort bon !
Il y a des journées comme ça dont on ne voit pas le bout… Du bon et du moins bon !
Une fois la nuit paisible et le petit déjeuner digérés, nous profitons d’être ici pour une petite partie de pêche à la truite. Clélia ne se sent pas mais la nostalgie du pêcheur adolescent que j’ai été pendant quelques étés me donne envie de m’y essayer à nouveau. J’enfile ma plus belle tenue pour l’occasion (non) et ma canne à pêche et moi nous jetons à l’eau 🎣 Pas le temps de niaiser, ça mord en quelques secondes ! En vrai c’est un peu de la triche mais j’étais quand même un peu fier. Ça nous fera de quoi manger ce soir.
Jour férié oblige, nous jetons notre dévolu sur un lieu nature et allons au Parc naturel régional de la forêt d’Orient. Ambiance bizarre avec l’épais brouillard 🌫️ qui nous accompagne lorsque nous traversons un village, accueillis par son cimetière et où je remarque une vieille balançoire. Des scénarios glauques défilent dans ma tête. Je suis rappelé à la réalité quand le voyant « STOP » s’allume sur mon tableau de bord… Il ne m’avait pas manqué. Il s’éteint dès que je me mets sur le bas-côté, mais réapparait un peu plus tard. Étrange… Il va falloir prendre un rdv chez le garagiste pour régler ce truc.
Arrivés à destination, nous mangeons un morceau puis partons en randonnée 🚶🚶♀️ Pas grand monde dans l’endroit un peu reculé où nous sommes, mais le cadre est très cool. J’en profite pour aller faire un petit 💩 au milieu des bois (dans un trou préalablement creusé, je fais ça bien). C’est évidemment à cet instant qu’un couple de randonneurs passe non loin de là… Bref ! Après notre marche, nous changeons de point de vue en allant un peu plus loin à un observatoire aux oiseaux. L’endroit est très sympa et offre un panorama assez poignant, même par ce temps. On retourne à Chocobo pour partir chercher un endroit où se poser la nuit. Je mets la clé de contact. Pas de contact. Rien. On parcourt la notice du véhicule, on essaie de comprendre et plutôt que de baptiser nos pinces et notre batterie portable (prévue pour ce genre de situation), je préfère appeler l’assurance par peur de mal faire. Pour un jour férié, nous avons de la chance, un dépanneur sera là d’ici une heure. Brève inspection, il sort ses pinces et redémarre illico la batterie de Chocobo 🔋 Nous en profitons pour lui raconter nos récents étonnements : le signal STOP récurrent, la radio qui se reboote sans raison, des lumières allumées qui ne devraient pas… Consciencieux, il décide de regarder la batterie. Verdict : une vis était mal vissée et faisait des faux contacts. Tout s’explique ! Nous le remercions chaleureusement et repartons rassurés.
Pour la nuit, nous choisissons de nous poser sur une aire de camping-cars à Arc-en-Barrois. Pendant que je remplis le Chocobujo (un bullet journal dédié à notre voyage), Clélia prépare le repas du soir pêché le matin. Nous ne sommes pas hyper équipés mais elle s’en sort à merveille ! Et c’était succulent. Plus tard dans la soirée, elle se sert un chocolat chaud. Alertée par l’odeur étrange, elle constate que le lait est caillé 🥛 et vide donc le contenu de la brique dans l’évier. Tant pis pour le chocolat chaud. Un instant après, en jetant quelque chose à la poubelle, elle se rend compte que l’évier a fui. Joie et bonheur. Il y en a partout et ça pue à souhait. On vide les tiroirs, puis on les retire (comme ça on sait faire). Rien de bien méchant finalement, c’était juste mal vissé (ça aussi). Nous remettons tout en place et ne tardons pas à nous coucher. Quelle journée !
Ça mord !
Temps maussade en cavale.
Pour cette chenille (le machin vert flou), la vie ne tient qu’à un fil.
Rando, popo, dodo.
Avec un filtre noir & blanc et une musique angoissante, ça aurait de la gueule.
L’observatoire aux oiseaux.
J’ai adoré ce point de vue. Le revoir m’apaise.
Clélia, pas franchement extatique lors de la découpe du poisson.
Le diner, au goût inversement proportionnel à sa présentation dans notre vaisselle Ikea.
Ça suinte le lait caillé.
Journée de boulot pour moi et atelier d’écriture le soir. Clélia a lu toute la journée 📖 Le temps était sacrément merdique donc on a décidé de rester encore une nuit ici. On s’est quand même fait une soirée pizzas 🍕 (bonnes) & Friends (la série).
La pizzeria.
Les pizzas.
Requinqués par notre nuit et les emmerdes désormais derrière nous, Chocobo nous emmène à Nogent pour y visiter le musée de la Coutellerie 🔪 Le temps est à peu près aussi pourri 🌧️ que la veille mais on s’en accommode. Nous pensions nous caler sur une aire de camping-cars dans la ville mais elle est pleine à craquer de camions d’un cirque itinérant. On se rabat provisoirement pour le déjeuner à côté d’un supermarché. Pris par le temps, c’est aussi ici, sur le parking d’Aldi, que je fais ma séance de psy en visio. Le symbole me fait rire.
S’en suit la visite du musée, qui, bien que très petit est très plaisant. La scénographie est bien pensée et on a découvert pas mal de choses. Mais comme les photos y sont interdites, je n’ai pas grand-chose à vous montrer. On y a vu entre autres une paire de ciseaux ✂️ de 35kg, des gigas couteaux de tailleur, un couteau-pistolet, des ciseaux à raisin, à lampe, de calligraphie, de coiffeur, de lingère, de couturière, des outils de chirurgie un peu flippants ou encore un couteau multi-pièces minuscule. Après ce temps culturel nous avons roulé sur une chanson fraichement découverte que j’adore : « Naturaleza », pour enfin nous arrêter dans une ferme longeant une départementale.
La coutellerie, bien plus que des couteaux.
Eblouie par les lumières, Clélia adopte un style inédit.
La route s’apprécie aussi sans soleil.
Night spot près d’une bestiole en métal.
Un temps chargé dans lequel j’ai aperçu le profil de Zeus.
On voulait aller visiter le « moulin de la fleuristerie » à quelques kilomètres de là mais les visites ne se font que pour les scolaires, sinon il faut attendre l’été. Ce sera pour plus tard. Direction notre bercail icaunais (le nom des habitants de l’Yonne). On a voulu passer par Epoisses pour acheter du fromage mais à cause de moult détours foireux dans la cambrousse, nous sommes arrivés juste après la fermeture 🔒 décidément !
Je roule fier, dans mon utilitaire. Si tu m’croise, viens pas m’chercher des noises. J’suis un rappeur voyageur.
Entre l’Yonne et Paris. Plusieurs trucs à faire qu’on avait prévu avant de partir. Petite visite chez le garagiste 🔧 pour le Chocobobo. Un tour à Décathlon pour des chaussures de rando 🥾 des jumelles 👀 et des talkies walkies…
C'était long ? Prenez une grande respiration !
Bravo et merci à vous d’avoir lu jusqu’ici ! À bientôt !
Matthieu & Clélia (qui découvre ce que j’écris en même temps que vous)
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